The Great Depression

Jean-Marie Appriou, Sylvie Auvray, Julie Beaufils,
Jason Benson, Camille Blatrix, Morgan Courtois,
Andrew J. Greene, Sam Lipp, Robert Malaval,
David Rappeneau & Chloe Siebert

Balice Hertling, Paris
December 12–February 6, 2016

The Great Depression

Jean Marie Appriu, Sylvie Auvray, Julie Beaufils,
Jason Benson, Camille Blatrix, Morgan Courtois,
Andrew J. Greene, Sam Lipp, Robert Malaval,
David Rappeneau & Chloe Siebert

Balice Hertling, Paris
December 12–February 6, 2016

The Great Depression

Jean Marie Appriu, Sylvie Auvray, Julie Beaufils,
Jason Benson, Camille Blatrix, Morgan Courtois,
Andrew J. Greene, Sam Lipp, Robert Malaval,
David Rappeneau & Chloe Siebert

Balice Hertling, Paris
December 12–February 6, 2016

The Great Depression

Jean Marie Appriu, Sylvie Auvray, Julie Beaufils,
Jason Benson, Camille Blatrix, Morgan Courtois,
Andrew J. Greene, Sam Lipp, Robert Malaval,
David Rappeneau & Chloe Siebert

Balice Hertling, Paris
December 12–February 6, 2016

The Great Depression

Jean Marie Appriu, Sylvie Auvray, Julie Beaufils,
Jason Benson, Camille Blatrix, Morgan Courtois,
Andrew J. Greene, Sam Lipp, Robert Malaval,
David Rappeneau & Chloe Siebert

Balice Hertling, Paris
December 12–February 6, 2016

1. clairedorn_W6W2296

The Great Depression
Installation view

The Great Depression
Installation view

The Great Depression
Installation view

The Great Depression
Installation view

2. clairedorn_W6W2269

The Great Depression
Installation view

The Great Depression
Installation view

The Great Depression
Installation view

The Great Depression
Installation view

3.clairedorn_W6W2273

Chloe Siebert, Jean-Marie Appriou & Julie Beaufils
Installation view

Chloe Siebert, Jean-Marie Appriou & Julie Beaufils
Installation view

Chloe Siebert, Jean-Marie Appriou & Julie Beaufils
Installation view

Chloe Siebert, Jean-Marie Appriou & Julie Beaufils
Installation view

4.clairedorn_W6W2283

David Rappeneau, Sam Lipp
Installation view

David Rappeneau, Sam Lipp
Installation view

David Rappeneau, Sam Lipp
Installation view

David Rappeneau, Sam Lipp
Installation view

5. clairedorn_W6W2284

Andrew J. Greene
Dry Fountain (Morgan Stanley Convertibles), 2015
Umbrella, beads, thread, slide whistle, plastic cup, helium balloon weight,
mustard jar, chang dish fuel container & roses

51 × 51 × 6 inches / 129 × 129 × 15 cm

Andrew J. Greene
Dry Fountain (Morgan Stanley Convertibles), 2015
Umbrella, beads, thread, slide whistle, plastic cup, helium balloon weight,
mustard jar, chang dish fuel container & roses

51 × 51 × 6 inches / 129 × 129 × 15 cm

Andrew J. Greene
Dry Fountain (Morgan Stanley Convertibles), 2015
Umbrella, beads, thread, slide whistle, plastic cup, helium balloon weight,
mustard jar, chang dish fuel container & roses

51 × 51 × 6 inches / 129 × 129 × 15 cm

Andrew J. Greene
Dry Fountain (Morgan Stanley Convertibles), 2015
Umbrella, beads, thread, slide whistle, plastic cup, helium balloon weight,
mustard jar, chang dish fuel container & roses

51 × 51 × 6 inches / 129 × 129 × 15 cm

6. clairedorn_W6W2290

Morgan Courtois
Still Life II, 2012
Textile
90 1/2 × 63 inches / 230 × 160 cm

Morgan Courtois
Still Life II, 2012
Textile
90 1/2 × 63 inches / 230 × 160 cm

Morgan Courtois
Still Life II, 2012
Textile
90 1/2 × 63 inches / 230 × 160 cm

Morgan Courtois
Still Life II, 2012
Textile
90 1/2 × 63 inches / 230 × 160 cm

7. clairedorn_W6W2311

Camille Blatrix
Rage, 2015
Pencil, dye on wood, scratched wall
Approx. 23 5/8 × 31 1/2 inches / 60 × 80 cm

Camille Blatrix
Rage, 2015
Pencil, dye on wood, scratched wall
Approx. 23 5/8 × 31 1/2 inches / 60 × 80 cm

Camille Blatrix
Rage, 2015
Pencil, dye on wood, scratched wall
Approx. 23 5/8 × 31 1/2 inches / 60 × 80 cm

Camille Blatrix
Rage, 2015
Pencil, dye on wood, scratched wall
Approx. 23 5/8 × 31 1/2 inches / 60 × 80 cm

8. clairedorn_W6W2325
Left:

Jean-Marie Appriou 
Untitled 1, 2017
Aluminum
16 x 10 × 4 inches / 41 × 25 ×10 cm

Right:Jean-Marie Appriou 
Untitled 2, 2017
Aluminum
16 × 10 × 4.5 inches / 40 × 25 × 11 cm
Left:

Jean-Marie Appriou 
Untitled 1, 2017
Aluminum
16 x 10 × 4 inches / 41 × 25 ×10 cm

Right:Jean-Marie Appriou 
Untitled 2, 2017
Aluminum
16 × 10 × 4.5 inches / 40 × 25 × 11 cm
Left:

Jean-Marie Appriou 
Untitled 1, 2017
Aluminum
16 x 10 × 4 inches / 41 × 25 ×10 cm

Right:Jean-Marie Appriou 
Untitled 2, 2017
Aluminum
16 × 10 × 4.5 inches / 40 × 25 × 11 cm
Left:

Jean-Marie Appriou 
Untitled 1, 2017
Aluminum
16 x 10 × 4 inches / 41 × 25 ×10 cm

Right:Jean-Marie Appriou 
Untitled 2, 2017
Aluminum
16 × 10 × 4.5 inches / 40 × 25 × 11 cm

A l’origine de cette exposition, il y a une voie. Celle Yohji Yamamoto dans le documentaire de Wim Wenders « Notebook on Cities and Clothes » réalisé en 1989. Sa mère était couturière et son père a été tué dans la Seconde Guerre mondiale. « Quand je pense à mon père, je me rends compte que la guerre fait toujours rage en moi », dit Yamamoto. Dans l’exposition « the great depression », Un livre d’August Sanders ouvert à une page précise : Celle d’un homme autour 1930, vêtu d’un chemise blanche bouffante plissée ; Un costume de Comme des garçons de 1995 dont la collection entière a été accusée d’incitation à la haine raciale, un lit dortoir, les traces du tampon d’un établissement pénitencier sur les murs, et une constellation d’objets invoquant une exposition d’ œuvres d’art. Ou le contraire : Des œuvres d’art évoquant des objets-accesoires. "Ma définition du mot accessoire peut aussi être un Complice du Crime » disait aussi Yamamoto. Dans The Great Depression, c’est un système des objets complices qui se met en place. Un échange symbolique accessoire et les œuvres de 12 artistes. L’exposition devient le lieu d’un duel fonctionnel des objets et leur pouvoir de séduction en explorant le sentiment de dépression à la fois comme un sentiment intimiste, comme une projection collective ; Un mouvement même physique et esthétique à travers de la collision des termes. Chacun des objets se meuvent, entre hybridation matérielle, ready-mades fonctionnel, manipulation d’affects, ou simple autoportrait. L’exposition essaie d’opposer production et séduction, pouvoir et puissance, économie et esthétique.

 
Les artistes sélectionnés se sont appuyés sur le thème comme un moyen alternatif pour parler d'un nouveau sujet: Nostalgie, « objectité », crise économique ou identitaire, adolescence, urbanisme. « Il est difficile de remédier à notre propre tristesse par ce que nous sommes complices. Il est difficile de remédier à celle des autres parce que nous en sommes captifs »  disait Baudrillard. De ce point de vue, la dépression est traitée par une génération d'artistes dont la pratique entretient un rapport critique vis-à-vis de leur production artistique à travers une « esthétique de la dépression ». L’accrochage prend donc volontairement des allures domestiques, telle une chambre d’adolescent, ou d’une cellule de prison pour opposer le rôle de l'artiste et de la galerie mais aussi du curator vis à vis de la galerie. La galerie apparaît non seulement  comme le lieu d’exposition de ce dilemme, son expression évidente, le lieu de la collision et pourquoi pas le lieu de la distorsion. Intégration d’éléments subsidiaires mais surtout le lieu des ambivalences séductrices et/ou productives.

A l’origine de cette exposition, il y a une voie. Celle Yohji Yamamoto dans le documentaire de Wim Wenders « Notebook on Cities and Clothes » réalisé en 1989. Sa mère était couturière et son père a été tué dans la Seconde Guerre mondiale. « Quand je pense à mon père, je me rends compte que la guerre fait toujours rage en moi », dit Yamamoto. Dans l’exposition « the great depression », Un livre d’August Sanders ouvert à une page précise : Celle d’un homme autour 1930, vêtu d’un chemise blanche bouffante plissée ; Un costume de Comme des garçons de 1995 dont la collection entière a été accusée d’incitation à la haine raciale, un lit dortoir, les traces du tampon d’un établissement pénitencier sur les murs, et une constellation d’objets invoquant une exposition d’ œuvres d’art. Ou le contraire : Des œuvres d’art évoquant des objets-accesoires. "Ma définition du mot accessoire peut aussi être un Complice du Crime » disait aussi Yamamoto. Dans The Great Depression, c’est un système des objets complices qui se met en place. Un échange symbolique accessoire et les œuvres de 12 artistes. L’exposition devient le lieu d’un duel fonctionnel des objets et leur pouvoir de séduction en explorant le sentiment de dépression à la fois comme un sentiment intimiste, comme une projection collective ; Un mouvement même physique et esthétique à travers de la collision des termes. Chacun des objets se meuvent, entre hybridation matérielle, ready-mades fonctionnel, manipulation d’affects, ou simple autoportrait. L’exposition essaie d’opposer production et séduction, pouvoir et puissance, économie et esthétique.

 
Les artistes sélectionnés se sont appuyés sur le thème comme un moyen alternatif pour parler d'un nouveau sujet: Nostalgie, « objectité », crise économique ou identitaire, adolescence, urbanisme. « Il est difficile de remédier à notre propre tristesse par ce que nous sommes complices. Il est difficile de remédier à celle des autres parce que nous en sommes captifs »  disait Baudrillard. De ce point de vue, la dépression est traitée par une génération d'artistes dont la pratique entretient un rapport critique vis-à-vis de leur production artistique à travers une « esthétique de la dépression ». L’accrochage prend donc volontairement des allures domestiques, telle une chambre d’adolescent, ou d’une cellule de prison pour opposer le rôle de l'artiste et de la galerie mais aussi du curator vis à vis de la galerie. La galerie apparaît non seulement  comme le lieu d’exposition de ce dilemme, son expression évidente, le lieu de la collision et pourquoi pas le lieu de la distorsion. Intégration d’éléments subsidiaires mais surtout le lieu des ambivalences séductrices et/ou productives.

A l’origine de cette exposition, il y a une voie. Celle Yohji Yamamoto dans le documentaire de Wim Wenders « Notebook on Cities and Clothes » réalisé en 1989. Sa mère était couturière et son père a été tué dans la Seconde Guerre mondiale. « Quand je pense à mon père, je me rends compte que la guerre fait toujours rage en moi », dit Yamamoto. Dans l’exposition « the great depression », Un livre d’August Sanders ouvert à une page précise : Celle d’un homme autour 1930, vêtu d’un chemise blanche bouffante plissée ; Un costume de Comme des garçons de 1995 dont la collection entière a été accusée d’incitation à la haine raciale, un lit dortoir, les traces du tampon d’un établissement pénitencier sur les murs, et une constellation d’objets invoquant une exposition d’ œuvres d’art. Ou le contraire : Des œuvres d’art évoquant des objets-accesoires. "Ma définition du mot accessoire peut aussi être un Complice du Crime » disait aussi Yamamoto. Dans The Great Depression, c’est un système des objets complices qui se met en place. Un échange symbolique accessoire et les œuvres de 12 artistes. L’exposition devient le lieu d’un duel fonctionnel des objets et leur pouvoir de séduction en explorant le sentiment de dépression à la fois comme un sentiment intimiste, comme une projection collective ; Un mouvement même physique et esthétique à travers de la collision des termes. Chacun des objets se meuvent, entre hybridation matérielle, ready-mades fonctionnel, manipulation d’affects, ou simple autoportrait. L’exposition essaie d’opposer production et séduction, pouvoir et puissance, économie et esthétique.

 
Les artistes sélectionnés se sont appuyés sur le thème comme un moyen alternatif pour parler d'un nouveau sujet: Nostalgie, « objectité », crise économique ou identitaire, adolescence, urbanisme. « Il est difficile de remédier à notre propre tristesse par ce que nous sommes complices. Il est difficile de remédier à celle des autres parce que nous en sommes captifs »  disait Baudrillard. De ce point de vue, la dépression est traitée par une génération d'artistes dont la pratique entretient un rapport critique vis-à-vis de leur production artistique à travers une « esthétique de la dépression ». L’accrochage prend donc volontairement des allures domestiques, telle une chambre d’adolescent, ou d’une cellule de prison pour opposer le rôle de l'artiste et de la galerie mais aussi du curator vis à vis de la galerie. La galerie apparaît non seulement  comme le lieu d’exposition de ce dilemme, son expression évidente, le lieu de la collision et pourquoi pas le lieu de la distorsion. Intégration d’éléments subsidiaires mais surtout le lieu des ambivalences séductrices et/ou productives.

A l’origine de cette exposition, il y a une voie. Celle Yohji Yamamoto dans le documentaire de Wim Wenders « Notebook on Cities and Clothes » réalisé en 1989. Sa mère était couturière et son père a été tué dans la Seconde Guerre mondiale. « Quand je pense à mon père, je me rends compte que la guerre fait toujours rage en moi », dit Yamamoto. Dans l’exposition « the great depression », Un livre d’August Sanders ouvert à une page précise : Celle d’un homme autour 1930, vêtu d’un chemise blanche bouffante plissée ; Un costume de Comme des garçons de 1995 dont la collection entière a été accusée d’incitation à la haine raciale, un lit dortoir, les traces du tampon d’un établissement pénitencier sur les murs, et une constellation d’objets invoquant une exposition d’ œuvres d’art. Ou le contraire : Des œuvres d’art évoquant des objets-accesoires. "Ma définition du mot accessoire peut aussi être un Complice du Crime » disait aussi Yamamoto. Dans The Great Depression, c’est un système des objets complices qui se met en place. Un échange symbolique accessoire et les œuvres de 12 artistes. L’exposition devient le lieu d’un duel fonctionnel des objets et leur pouvoir de séduction en explorant le sentiment de dépression à la fois comme un sentiment intimiste, comme une projection collective ; Un mouvement même physique et esthétique à travers de la collision des termes. Chacun des objets se meuvent, entre hybridation matérielle, ready-mades fonctionnel, manipulation d’affects, ou simple autoportrait. L’exposition essaie d’opposer production et séduction, pouvoir et puissance, économie et esthétique.

 
Les artistes sélectionnés se sont appuyés sur le thème comme un moyen alternatif pour parler d'un nouveau sujet: Nostalgie, « objectité », crise économique ou identitaire, adolescence, urbanisme. « Il est difficile de remédier à notre propre tristesse par ce que nous sommes complices. Il est difficile de remédier à celle des autres parce que nous en sommes captifs »  disait Baudrillard. De ce point de vue, la dépression est traitée par une génération d'artistes dont la pratique entretient un rapport critique vis-à-vis de leur production artistique à travers une « esthétique de la dépression ». L’accrochage prend donc volontairement des allures domestiques, telle une chambre d’adolescent, ou d’une cellule de prison pour opposer le rôle de l'artiste et de la galerie mais aussi du curator vis à vis de la galerie. La galerie apparaît non seulement  comme le lieu d’exposition de ce dilemme, son expression évidente, le lieu de la collision et pourquoi pas le lieu de la distorsion. Intégration d’éléments subsidiaires mais surtout le lieu des ambivalences séductrices et/ou productives.

A l’origine de cette exposition, il y a une voie. Celle Yohji Yamamoto dans le documentaire de Wim Wenders « Notebook on Cities and Clothes » réalisé en 1989. Sa mère était couturière et son père a été tué dans la Seconde Guerre mondiale. « Quand je pense à mon père, je me rends compte que la guerre fait toujours rage en moi », dit Yamamoto. Dans l’exposition « the great depression », Un livre d’August Sanders ouvert à une page précise : Celle d’un homme autour 1930, vêtu d’un chemise blanche bouffante plissée ; Un costume de Comme des garçons de 1995 dont la collection entière a été accusée d’incitation à la haine raciale, un lit dortoir, les traces du tampon d’un établissement pénitencier sur les murs, et une constellation d’objets invoquant une exposition d’ œuvres d’art. Ou le contraire : Des œuvres d’art évoquant des objets-accesoires. "Ma définition du mot accessoire peut aussi être un Complice du Crime » disait aussi Yamamoto. Dans The Great Depression, c’est un système des objets complices qui se met en place. Un échange symbolique accessoire et les œuvres de 12 artistes. L’exposition devient le lieu d’un duel fonctionnel des objets et leur pouvoir de séduction en explorant le sentiment de dépression à la fois comme un sentiment intimiste, comme une projection collective ; Un mouvement même physique et esthétique à travers de la collision des termes. Chacun des objets se meuvent, entre hybridation matérielle, ready-mades fonctionnel, manipulation d’affects, ou simple autoportrait. L’exposition essaie d’opposer production et séduction, pouvoir et puissance, économie et esthétique.

 
Les artistes sélectionnés se sont appuyés sur le thème comme un moyen alternatif pour parler d'un nouveau sujet: Nostalgie, « objectité », crise économique ou identitaire, adolescence, urbanisme. « Il est difficile de remédier à notre propre tristesse par ce que nous sommes complices. Il est difficile de remédier à celle des autres parce que nous en sommes captifs »  disait Baudrillard. De ce point de vue, la dépression est traitée par une génération d'artistes dont la pratique entretient un rapport critique vis-à-vis de leur production artistique à travers une « esthétique de la dépression ». L’accrochage prend donc volontairement des allures domestiques, telle une chambre d’adolescent, ou d’une cellule de prison pour opposer le rôle de l'artiste et de la galerie mais aussi du curator vis à vis de la galerie. La galerie apparaît non seulement  comme le lieu d’exposition de ce dilemme, son expression évidente, le lieu de la collision et pourquoi pas le lieu de la distorsion. Intégration d’éléments subsidiaires mais surtout le lieu des ambivalences séductrices et/ou productives.